Une randonnée entre « ruffes » et causse, chargée d’histoire. Au départ d’Octon, petit village héraultais d’environ 500 âmes, la randonnée permet de découvrir la fontaine de la place Paul-Vigné-d'Octon qui date de 1901, les Dolmens de Toucou nichés sur le plateau de Carols, la chapelle Notre-Dame de Roubignac de style roman du XIIe siècle ainsi que les ruines du château de Lauzières.

Accroché à un éperon rocheux, entre vergers et châtaigneraies, Olargues domine la verdoyante vallée du Jaur, où se profilent, en toile de fond, les massives silhouettes du Caroux et de l’Espinouse. Au sud, dans les avant-monts, cette randonnée navigue entre garrigue et forêt de chênes verts. Le parcours emprunte le GR de Pays Tours dans le Haut-Languedoc et Vignobles et permet de découvrir des gravures rupestres sur pierres (Peyro Escrito). Un détour par le pic de Naudech permet de profiter d’un panorama à 360°.

Dans le prolongement de la vallée de la Buèges, la vallée sèche du Pontel mène à la grande draille qui part à l'assaut de la Séranne. Petit massif calcaire dont la hauteur varie de 700 à 900 mètres pour environ 25 kilomètres, cette barrière naturelle atteint son point culminant au Roc Blanc, à 942 mètres d'altitude. L'itinéraire débute au village perché de Pégairolles-de-Buèges et emprunte un sous-bois en plein cœur de la forêt domaniale de Saint-Guilhem-le-Désert. Nous entamons ensuite la montée vers le cirque de la Séranne avant de bifurquer à travers une vieille draille et rejoindre Pégairolles-de-Buèges.

Randonnée au départ de Pégairolles-de-l'Escalette près de Lodève pour visiter les falaises de l'Escalette, au pied du Larzac, via la vallée de la Lergue. Le village de Pégairolles-de-l'Escalette qui appartenait à l'évêque de Lodève est mentionné dès 1210. Il est situé sur la route de la laine. Un château a été construit au nord du village en lieu et place d'un château fort dont il ne reste qu'un donjon.

Puéchabon, village médiéval en circulade, se situe en haut d'une colline pour mieux dominer la garrigue et prévenir toute éventuelle attaque. Aujourd'hui le village a conservé son charme médiéval rustique : maisons en pierres, remparts, rues étroites. Cette randonnée permet de découvrir de nombreux lieux et monuments comme les très beaux hameaux de Lavène et Montcalmès, le belvédère du berger et sa magnifique vue sur Saint-Guilhem-le-Désert, le pont du Diable et enfin l’église romane Saint-Sylvestre des Brousses.

Située au-dessus du village médiéval et de son château féodal, les coteaux viticoles et garrigue se conjuguent aux affleurements calcaires et laissent apparaître des paysages à couper le souffle des Pyrénées au littoral méditerranéen, du massif du Caroux-Espinouse aux avant-monts...Cette randonnée fait découvrir toutes les richesses et les trésors de la garrigue languedocienne.

Au départ de la haute vallée du Jaur, ce parcours essentiellement en crête rejoint l’étonnant site de la chapelle Notre-Dame de Trédos, ménageant au passage de belles vues sur le massif du Somail.

Cette randonnée permet d’arpenter les pentes de l’Esquirol (écureuil en occitan) et découvrir Roquebrun. Dressé sur un flanc de montagne et dominant une courbe de l’Orb, Roquebrun est un petit village aux allures méditerranéennes que le passage des siècles ne semble pas avoir altéré. Des terrasses du Garriguas au col de la Belle en passant par Laurenque, la diversité des décors vous laissera un souvenir remarquable et authentique.

Situé au nord de Lodève, le plateau de l’Escandorgue est un petit massif volcanique, situé dans le département de l'Hérault (Occitanie, France). Le parcours traverse une belle forêt domaniale ainsi que le temple Bouddhiste « Lérab Ling », fondé en 1991 par Sogyal Rinpoché qui est devenu en quelques années un centre important pour la transmission des enseignements bouddhistes en Europe.

Ce parcours sillonne les sous-bois de chênes, de pins, d’arbousiers et le vignoble faugérois. Le point culminant de cette randonnée est le castrum de Roquessels perché sur le roc et sa chapelle Notre-Dame datant du XIIe siècle. Sur ce site, des tables d’interprétation et une aire de pique-nique sont à disposition du public.

Cette randonnée sillonne le vignoble Saint-chinianais révélant à chaque recoin un paysage minéral. Elle mène de ruines en vestiges sur les traces du passé. Les clapàs qui jalonnent le parcours sont d’étonnants amas de pierres. Clapàs, capitelles, dolmens sont autant de témoignages de la pugnacité de nos ancêtres à cultiver la terre !

Cette belle randonnée sillonne le vignoble Saint-chinianais révélant à chaque recoin un paysage minéral, avec en toile de fond la silhouette majestueuse du massif du Caroux. Elle mène de ruines en vestiges sur les traces du passé et passe par le roc de Notre-Dame de Nazareth et le village de capitelles restaurées, véritable conservatoire de l’art et la manière de construire en pierre sèche.

Saint-Chinian doit son nom au moine bénédictin Anian, fondateur du monastère de Saint Laurent, en 794. Il fut béatifié en 1102 et le monastère prit son nom : Sanch Anhan, devenu aujourd’hui Saint-Chinian. Cette randonnée agréable et reposante vous entraîne au cœur de la campagne saint-chinianaise. Le long de pistes forestières et de sentiers escarpés, elle se fraye un passage à travers le maquis et les éboulis et vous offre une vue imprenable sur la vallée et les barres rocheuses.

Cette randonnée au départ de Saint-Félix-de-l’Héras révèle les contrastes d’un paysage façonné par la rigueur du climat caussenard. On traversera successivement des terres dédiées au pastoralisme, la vallée de la Lergue, et un ensemble dolomitique égrené dans une végétation variée. Ce décor sauvage est aussi le témoignage de la présence de l’Homme depuis des millénaires. C’est du pas de l’Escalette que Pons de l’Héras, seigneur brigand, surveillait les chemins du haut de son nid d’aigle afin de dévaliser les voyageurs. Mais en 1136, touché par la Grâce, il confesse ses crimes et part sur le chemin de Compostelle. À son retour, il fonde l’abbaye de Sylvanès. L’Escalette, qui doit son nom aux marches taillées dans le rocher, était un lieu d’échange entre les plateaux caussenards et la plaine méditerranéenne. L’invention de la dynamite a permis de créer un passage en 1868. Le Pas nous offre une superbe vue sur la vallée de la Lergue depuis l’ancienne route, la nationale 9.

A partir du village de Saint-Guilhem-le-Désert, cette randonnée s’élève vers les ruines du château du Géant qui domine le village. Un passage à l’ermitage Notre-Dame-de-Belle-Grâce pour ensuite monter au cap du Ginestet et de la Pousterlet et terminer en beauté par les falaises du cirque de l’Infernet et du site des Fenestrelles, construit par des moines au moyen-âge afin de faciliter le passage des pèlerins sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Ce parcours quasi non-balisé traverse la plaine de l’Estagnol, emprunte une partie du parcours de l'ermitage Notre-Dame de Belle Grâce (GR74) pour se diriger ensuite plus à l'est vers la baume de l’Olivier ou vivait Michel DOSS plus connu sous le surnom de "Frigoule". Pas moins de 3 grottes et 2 avens jalonnent cette randonnée sur une distance de 20 km environ.

Ce parcours quasi non-balisé traverse la plaine de l’Estagnol, emprunte une partie du parcours de l'ermitage Notre-Dame de Belle Grâce (GR74). Après une belle boucle dans la forêt domaniale de Saint-Guilhem-le-Désert, il s’oriente plus à l'est vers la baume de l’Olivier ou vivait Michel DOSS plus connu sous le surnom de « Frigoule ». Le retour se fera tout en descente, non sans visiter la grotte du Sergent avant d’arriver au terme de notre randonnée.

Non-loin de Saint-Hippolyte-du-fort, cette randonnée hors sentier balisé sillonne la forêt de la Fage au cœur de la montagne du même nom. Le parcours permet de profiter du Prieuré Saint-Martin-de-Cézas situé sur une colline entre la montagne de la Fage et la montagne de Cagnasses. Composé d’une chapelle, d’un ancien bâtiment partiellement en ruines et du cimetière toujours en activité, le prieuré est entouré d’un domaine composé de terrasses qui étaient cultivées en jardin, vignes, prés, arbres fruitiers et châtaigniers et maintenant envahies par les érables de Montpellier, chênes rouvres, cornouillers et autres essences locales auxquelles s’ajoutent les cèdres et résineux plantés par l’ONF pour lutter contre l’érosion des terres.

Depuis 1986, l’association « Prieuré Saint-Martin-de-Cézas » restaure cet édifice.

Saint-Jean-de-Buèges est situé dans la vallée de la Buèges, affluent de l'Hérault, entre côté amont Pégairolles-de-Buèges, commune où se trouve la source de la Buèges, et vers l'aval les gorges de la Buèges en direction de Vareilles. Située dans les Garrigues languedociennes, juste au sud des Cévennes, le bourg se caractérise par ses hautes maisons en pierre ornées de belles portes arrondies et de petites fenêtres, dans un site très encaissé, au pied de son château.